Mit freundlicher Genehmigung des
τῆς τοιαύτης κινήσεως κατά φύσιν.» chap. 13. éd. p. 27.6 ; = 181.27.
διατί οἱ ἐρῶντες μετὰ χεῖρας ἄνϑη καὶ μῆλα φέρουσιν». ‒̶ Puis, sur 16 l., «
Κλέαρχος ὁ Σολεὺς»,ἀμέργουσαν παῖδ᾽ ἄγαν ἁπαλαν.
Κλέαρχος», de la même main, «
οὗτος ἐγένετο» (cf.Αριστοτέλους μαϑητὴς.
Κλέαρχος δέ φησιν ὡς Πολυκράτης,ἐν ἧ πάντα τὰ πρὸς τροφὴν ἐπωλεῖτο. »
ex Athenaei libro xii».
ὀρχήσεις|
τραγικὴ γυμνοπαιδικὴ ἐμμέλεια|
κωμικὴ ὑποχρηματικὴ κόρδαξ|
σατυρικὴ πυρρίχη σικιννὶς.». ‒̶ Plus bas, après une brève note grattée (cf. ci-dessous), sur 11 l.,
τρεῖς δ᾽ εἰσὶ τῆς σκηνικῆς ποιήσεως ὀρχήσεις». ‒̶ Plus bas, sur 7 l.,καὶ νῦν ὄνομα τὸν Πύρριχον.
καὶ οἱ καλούμενοι δὲ ἱλαρωδοί». ‒̶ Sur la ligne suivante, une phrase,τὰ αὐτὰ δὲ μέλλη ᾄδουσι καὶ τ᾽ἄλλα πάντα δ᾽ἔστιν ὅμοια
σεμνότερος δὲ τῶν σωταδείων ἐστὶν ὁ ἱλαρωδὸς καλούμενος» (cf. ci-dessous
ex Athenaei libro xiv».
σεμνότερος δὲ τῶν σωταδείων». Bien plus bas, au-dessus de la signature du cahier, d'une main apparemment différente de celle des notes latines précédentes, «φαρμάκων ἐμφανίζειν δυνάμεις
Opuscula».quaed'am Theophrasti, Aristotelis et Alexandri Aphrodisiensis. Graecé.
ἐν Μεγάροις ἐν λίϑω τινὶ παλαιοῖς γράμμασι γεγραμμέν̣ο̣ν̣». ‒̶ «
Ὀλύμπια ἐν πείση. Γ.». ‒̶ Peut-être la plus ancienne copie conservée de cette inscription.σεβαστὰ ἐννεαπόλει
ἐν Ἀϑήναις ἐν τινὶ λίϑω γεγραμμένον» ; «
Ἀντωνία ἡ καὶ Σωκρατική τῶ». ‒̶ Apparemment, la plus ancienne copie conservée de cette inscription.γλυκυτάτώ μου ἀνδρὶμετακινῆσαί τι.
στόμωμα δὲ γίνεται».στομοῦν τὸν σίδηρον δύναται.
. . . . ν̣αι̣'σ̣ι ̣.».
Ḷeoṇic». Entre les 2 extraits d'Athénée (cf. ci-dessus), note grattée : «i Ṭḥọṃaei ẹt amico(rum)| . . . ạioịs
. ι ̣ . ο ’ ̣ ς .».
amico(rum)» ; contenu semblable à celui de la note du
Occidentale. ‒̶
Couture : sur 3 nerfs doubles ; fixés de chaque côté par 2 clous, visibles sur l'ais post. ‒̶ 2 grecques, situées l'une à 27 mm de la tranche de tête, l'autre à 40 mm de la tranche de queue : utilisées pour le passage des fils de couture et des attaches des tranchefiles ; restes d'une reliure plus ancienne, ou imitation partielle de la technique byzantine ?
Couverture
: pleine reliure ; ais en bois ; couvrure en cuir teinté, plutôt brun rouge foncé (cf. Michel, 11-17-7) ;
Gardes ant. : apparemment If.II, premier folio collé sur le contre-plat,
Gardes post. : absentes. ‒̶
Tranchefiles : âme de cuir, apparemment ; attaches visibles sur le
Décoration: (
Fermoirs : 2 fermoirs à agrafes. ‒̶ (
Inscriptions : (
Conservation : (plats) couvrure râpée et déchirée en maints endroits ; traces d'encre sur le
Reliure ancienne : cf. Couture.
Ms. copié et annoté par l'humaniste Andrist, Les manuscrits grecs, Introduction p. 88-89 ; Burnikel, Textgeschichtliche, p. 31, 84), dans les 20 dernières années du XVe siècle, peut- être même un peu plus tôt (cf. Papier).
Écriture rapide des Notes et des Éléments adventices sûrement de sa main (rapport étroit entre N.L.T., également propriétaire du volume, et les notes marginales qui se retrouvent dans des éditions anciennes auxquelles il a collaboré, cf. Notes ; correspondance avec les spécimens publiés par Pontani, Postille, Fig. 1-2).
Écriture plus posée du texte principale, trop proche de l'écriture rapide pour être d'une autre main (rem. P. Canart ; confirmation de l'hypothèse de Vendruscolo, Manoscritti, p. 549-550).
Selon Burnikel (Textgeschichtliche, p. xxix-xxx, 16-22, 81, 90-91 ; voir aussi Canart, Démétrius, p. 295, 298), pour les textes de Théophraste, copie de l'Ambros. P 80 sup. (grec 630 ; s. xv1/3), aujourd'hui mutilé, probablement aussi pour les textes du Corpus Aristotelicum. Par ailleurs, antigraphe du London, BL, Add. 5113 et plus proche ancêtre conservé du Voss. gr. Q 25 (selon d'autres, il en serait son apographe, cf. Wiesner, Ps.-Aristoteles, p. 377-381 ; Sicherl, Handschriftliche, p. 34). Seul le De fato (et le Tractatus de ferro fundendo, parmi les pièces ajoutées) dépendrait alors d'un autre manuscrit (pour les Mechanica, cf. ci-dessous).
Incidemment, on peut se demander si l'inscription antique du Paris. gr. 2043 (Vendruscolo, Manoscritti, p. 545 ; Hoffmann, Autres données, p. 707, n. 70 ; malgré la légère différence orthographique).
Textes et notes du ms. utilisés pour la préparation de l'édition aldine de De Xenophane, de Zenone, de Gorgia et pour les Mirabilia (dans les tomes 2 à 4 de l'Organon Aristotelis, Venezia, 1497), modèle direct de l'exemplaire d'imprimerie (aujourd'hui perdu) ; cf. Burnikel, Textgeschichtliche, p. 22-25 ; Sicherl, Handschriftliche, p. 34-35, Wiesner, Ps.-Aristoteles, Mirabilia p. 616-617, etc. Cependant, selon M. E. Bottecchia (Fonte, p. 386), tel ne serait pas le cas pour les Mechanica.
Très probablement, ms. de base pour la traduction des Mechanica, préparée par Legrand, t. 3, n° 276, p. 310 ; cf. introduction à l'éd., p. 1). Celui-ci nous apprend que le ms. utilisé pour cette publication n'avait pas de figures et qu'il dut les réinventer (D. de Bellis, Niccolò Leonico Tomeo interprete di Aristotele naturalista, Physis 17, 1975, p. 71-93, cf. p. 91). Ce ms. est probablement le Cod 402, dont les figures, toutes situées dans les marges, seraient donc des exercices de reconstitution (voir aussi Rose, The Pseudo, p. 79-80, 83 ; Vendruscolo, Manoscritti, p. 549).
Ms. entré en possession de Manoscritti, p. 554) se demande si le ms. n'est pas arrivé à Paris avec une autre série de livres de N.L.T., qui ont appartenu à Henri de Mesme, qui auraient pu les avoir acquis auprès de Hoffmann, Autres données, p. 708). Ces manuscrits ne sont cependant pas identifiés dans le récent catalogue de M. Danzi (La Biblioteca del cardinal Pietro Bembo, Travaux d'Humanisme et de Renaissance 299, 2005). Le ms. n'a-t-il pas davantage de chances d'avoir suivi le même parcours que le Cod. 297, qui a lui aussi été copié par N.L.T., puis a appartenu au monastère des Andrist, Les manuscrits grecs, p. 174-175) ?