Creative Commons Attribution 3.0 Unported (CC BY 3.0)
pour la deuxième partie (
On ignore d’où provient le manuscrit car il ne comporte pas de notice d’appartenance lisible.
Une possible notice se trouverait en tête du f. Ora pro me Thoma, qui fuisti scientie dogma, theca castitatis, vasque admirabile honestatis
à Horologium. On ne sait pas si les deux volumes proviennent à l’origine de la même bibliothèque.
le manuscrit ne donne aucun indice concernant son acquisition. On notera simplement que le catalogue de la bibliothèque cantonale vaudoise de
Bruckner remarque qu’il est écrit sur le Bibliothecae Lausannensis
, qu’il date d’
Nam in foveis metallis bullientibus plenis balneabantur et exilire cupientes absque misericordia reimpingebantur.Cela correspond aux lignes 13 à 15 du chapitre X de la transcription de
Les rubriques ont été tracées postérieurement au texte. Il en résulte que le copiste du texte n’a parfois pas laissé assez d’espace pour cela : le f. Sapientia débordant de la justification.
Minuscule bâtarde d’une seule main (Bruckner), sur deux colonnes.
Ff. et
ont été grattés, laissant un espace vide où l’on peut distinguer qu’il s’agissait du mot etiam
à l’origine. Quelques corrections ont été ajoutées dans la marge de fond : par exemple au f. Ire quo velis. Stare ubi velis
, oublié dans le corps du texte.
Les ff.