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Zürich, Braginsky Collection, S86
Parchemin · 1 f. · 33 x 156 cm · Europe de l’Est · vers 1900
Megillat Ester (מגילת אסתר) / Rouleau d'Esther

L’étui de cette megillat (h: 47 cm) se rapproche du point de vue stylistique de l’art religieux juif de l’Europe de l’Est. L’argent est poinçonné, ciselé, coulé et en partie doré. L’aigle à deux têtes est l’animal héraldique des Habsbourg et des tsars russes. L’écu cite Esther 8,16 : « Pour les Juifs, il y eut illuminations et joie, jubilation et gloire », et sur ses deux côtés, les drapeaux portent l’inscription : « et sur la tête duquel est posée une couronne royale » (Esther 6,8). De nombreux ornements de fleurs, fruits et feuilles, et des représentations d’animaux s’y entrelaçant, recouvrent l’étui. Le rouleau peut être déroulé grâce à une poignée en forme de petit lion. (flu)

En ligne depuis: 10.12.2020

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Zürich, Braginsky Collection, S90
Parchemin · 1 f. · 30.5 x 461 cm · Italie · vers 1650
Megillat Ester (מגילת אסתר) / Rouleau d'Esther

La partie introductive de cette megillat (4 membranes avec 34 colonnes de texte) montre un lion rampant avec une palme entouré de quatre oiseaux et d’insectes. Au-dessus se trouve l’inscription du nom du probable possesseur d’origine « Salomon Marinozzi ». A droite, un cartouche, probablement ajouté plus tard, contient la note de possession de son fils : « Ce rouleau appartient à Mordechai, fils de Salomon Marinozzi, béni soit son souvenir, et il a été acheté par Salomon […] en 1652 ». (flu)

En ligne depuis: 10.12.2020

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Zürich, Braginsky Collection, S91
Parchemin · 1 f. · 17 x 216 cm · Maroc (Meknès ?) · vers 1800
Megillat Ester (מגילת אסתר) / Rouleau d'Esther

Influencée par la culture islamique d’Afrique du Nord, cette megillat (3 membranes avec 19 colonnes de texte) renonce aux représentations figuratives et utilise divers ornements variés du vocabulaire de l’art islamique. Le texte est agrémenté d’une arcade s’étendant sur tout le rouleau. Le décor se rapproche le plus de certaines ketubbot de Meknès au Maroc. (flu)

En ligne depuis: 10.12.2020

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Zürich, Braginsky Collection, S93
Parchemin · 1 f. · h: 40.6 cm · Europe de l’Est · 1913
Megillat Ester (מגילת אסתר) / Rouleau d'Esther

La megillat (3 membranes avec 10 colonnes de texte) vient d’Europe de l’Est et a probablement été produite au début du XXe siècle. L’étui élaboré a été exécuté par Ezechiel Joshua Maisels en 1913 à Dolyna en Galicie (aujourd’hui Ukraine occidentale). Il est couvert d’images sculptées, d’ornements et d’inscriptions hébraïques et montre des scènes issues de l’histoire de Pourim en bas, et la représentation de la pendaison d’Haman en haut. Au centre, la couronne (keter malchut), symbole de la royauté, est portée par deux lions ailés. L’aigle bicéphale renvoie à l’empire habsbourgeois. (flu)

En ligne depuis: 10.12.2020

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Zürich, Braginsky Collection, S94
Parchemin · 1 f. · 7.9 x 301 cm · Italie · milieu du XVIIIe siècle
Megillat Ester (מגילת אסתר) / Rouleau d'Esther

Le texte de ce rouleau d’Esther (5 membranes avec 42 colonnes de texte) est écrit dans des colonnes inhabituellement étroites, qui sont cernées par des cadres dorés sur un fond verdâtre. L’étui hexagonal en argent coulé, ciselé, gravé, et grainé porte le poinçon de la ville de Rome et de son auteur Giovanni Battista Sabatini, pour les années 1778-1780. Les initiales alef, resch et samech se rapportent au commanditaire et propriétaire. Cet exemple est exceptionnel en ce sens qu’il conserve l’ensemble original constitué du rouleau, de l'étui en argent et de l'étui en cuir. (flu)

En ligne depuis: 10.12.2020

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Zürich, Braginsky Collection, S95
Parchemin · 1 f. · 30.8 x 195 cm · Venise · 1748
Megillat Ester (מגילת אסתר) / Rouleau d'Esther

L’artiste et calligraphe Arje Leib ben Daniel qui a conçu cette megillat (3 membranes avec 12 colonnes de texte et une feuille séparée avec des bénédictions) est originaire de Gorai près de Zamość en Petite-Pologne. On conserve 28 megillot de sa main, dont huit sont signées et datées par lui. Ce rouleau ha-melech, d’après « ha-melech » (le roi), avec lequel chaque colonne débute, a été réalisé à Venise en 1748 avec les dessins à la sépia caractéristiques de Arje Leib. Des influences de Salom Italia et de l’art populaire d’Europe de l’Est ressortent dans la réalisation du cadre. Le nom de l'artiste dans l’inscription a été remplacé plus tardivement par celui de Juda Capsuto, qui a offert ce rouleau à Ephraim Isaac Capsuto comme cadeau de Pourim. (flu)

En ligne depuis: 10.12.2020

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Zürich, Braginsky Collection, S101
Parchemin · 1 f. · 12.6 x 246.5 cm · Amsterdam · vers 1641
Megillat Ester (מגילת אסתר) / Rouleau d'Esther

Salom Italia (vers 1619, Mantoue – 1655, Amsterdam) divise le texte en 30 colonnes (sur 4 membranes) qu’il place dans des ouvertures en forme de massifs porches rustiques. Entre ceux-ci, dans des niches, alternent des représentations du roi Assuérus et de la reine Esther. Sur les socles 29 images racontent l’histoire du livre d’Esther. La conception des rouleaux d’Esther de Salom Italia, dont 11 exemplaires en tout ont été conservés, a eu une forte influence sur la production ultérieure. Avec cette megillat, il s’agit de l’un des trois exemplaires décorés de dessins à la plume, lesquels ont probablement servi de modèle pour les cadres gravés sur cuivre conçus par ce même artiste. (flu)

En ligne depuis: 10.12.2020

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Zürich, Braginsky Collection, S102
Parchemin · 1 f. · 35.5 x 190 cm · Venise · 1564
Megillat Ester (מגילת אסתר) / Rouleau d'Esther

L’œuvre est datée du 3 Adar 5324 (15 février 1564) à Venise et constitue ainsi le plus ancien exemplaire daté d’un rouleau d’Esther entièrement illustré. Il a été réalisé par Stellina et contient donc la seule megillat des temps modernes dont nous savons qu’elle a été créée par une femme. Le rouleau commence par des bénédictions, suivies par le texte qui est rangé sous les arcades. Celles-ci sont soutenues par des caryatides portant sur leur tête des vases antiques, des urnes ou des lampes à huile. A la septième, treizième et dix-neuvième arcade, les caryatides ont été remplacées par un satyre et une femme avec des pattes d’animal. Toutes les illustrations sont rehaussées d’or. Le style et les motifs correspondent au langage artistique contemporain du maniérisme. (flu)

En ligne depuis: 10.12.2020

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Zürich, Schweizerisches Nationalmuseum, AG 2760
Parchemin · 1 f. · 12 x 400 cm · région du Lac de Constance · vers 1330-1345
Le rôle d'armes de Zurich

L'armorial de Zurich, en parchemin, est l'un des documents les plus importants et les plus exceptionnels de l'héraldique médiévale. Le rouleau se compose aujourd'hui de quatre parties de longueur différente qui peuvent être assemblées dans un long rouleau de quatre mètres. Des deux côtés du rouleau, sont présentées 559 armoiries – chacune surmontée d'un cimier – de la haute et basse noblesse du nord de la Suisse, de l'Allemagne méridionale et de l'Autriche occidentale. Les noms sont inscrits à côté de chaque blason. En outre, il y a 28 bannières d'évêchés et de monastères allemands. L'ordre des quatre parties actuelles, qui ont été assemblées par des coutures à partir de 13 feuillets de parchemin, est déterminé comme suit: la partie I (36.5 cm) contient les armoiries des évêchés et des monastères sur le côté verso (numérotation Merz-Hägi: I-XXVIII; la numérotation originale date du XVIème ou XVIIème siècle) et au recto 22 blasons de nobles (1-22). Les parties II et III (255.5 cm) étaient encore cousues ensemble en 1930. La partie II, constituée de quatre feuilles de parchemin, contient sur le recto les armoiries 23-104 et 108-114 et sur le verso les armoiries 214-220 et 224-308. La partie III, composée de trois feuilles de parchemin cousues ensemble, contient sur le recto les armoiries 105-107 et 115-162 et sur le verso les armoiries 163-213 et 221-223. La quatrième partie (109 cm) – composée de cinq feuilles de parchemin assemblées entre elles – contient sur le recto les armoiries 309-378 et, sur le verso, les armoiries 379-450. L'armorial est incomplet; en effet, il manque dans la quatrième partie, 109 armoiries, qui sont connues grâce à une copie du rouleau datant du XVIIIe siècle. Il fut probablement réalisé à Zurich ou dans la région du Lac de Constance et date entre 1330 et 1345. Le style d’exécution rappelle celui du Codex Manesse, un recueil de poésie courtoise en langue allemande accompagné de 137 miniatures, peint à Zurich et de peu antérieur. Avant d’être déposé au Musée National Suisse par la Société d’antiquités de la ville, il fut en possession de l’historien et naturaliste zurichois Jacob Scheuchzer (1672-1733). (ber)

En ligne depuis: 18.12.2014

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Zürich, Schweizerisches Nationalmuseum, LM 1314
Parchemin · 228 ff. · 11 x 9 cm · Allemagne du sud (Augsbourg?) · deuxième moitié du XVe siècle (1460/90)
Livre d'heures

Petit livre d'heures en latin, très découpé, contenant les sept psaumes, le Cursus beate virginis Marie, l'office des défunts, le Cursus de passione Domini et diverses oraisons. La décoration se compose de diverses initiales avec des entrelacs végétaux et d'une miniature en pleine page (5v) - malheureusement en partie endommagée - représentant l'Ecce homo devant lequel est agenouillé le donateur, accompagné à droite de son armoirie. La mention des indulgences conférées par les papes Grégoire et Callixte III (1455-1458) (f. 139) permet de restreindre la datation à la seconde moitié du XVe siècle, tandis que le style de la décoration laisse penser à une origine de l'Allemagne du sud, peut-être Augsbourg, dans le cercle de l'enlumineur Johannes Bämler. (ber)

En ligne depuis: 23.06.2014

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Zürich, Schweizerisches Nationalmuseum, LM 2799
Parchemin · 74 ff. · 18.8 x 12.5 cm · Constance · 1487
Processional de Münsterlingen (TG)

Le Rituel provient du couvent de Münsterlingen (Thurgovie) ; il contient une série de prières et de chants que les moniales devaient réciter lors des processions dans le cloître du couvent et un long office des défunts (54v-72v), introduit par une miniature représentant saint Michel pesant les âmes des défunts. Les rubriques sont en partie en allemand, en partie en latin. D’après le style des trois initiales, la réalisation du codex peut être rattachée à la région de Constance. Au cours d’une restauration autour de 1973, deux feuilles de parchemin, à l’origine encollées à l’intérieur de la reliure et provenant d’un lectionnaire en minuscule précarolingienne datant du début du IXème siècle, ont été détachées (Mohlberg: XIème siècle). (ber)

En ligne depuis: 09.04.2014

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Zürich, Schweizerisches Nationalmuseum, LM 4624.1
Parchemin · I + 373 + II ff. · 21.2-21.5 x 15-15.5 cm · 1493
Bréviaire de Jost von Silenen, pars hiemalis

Bréviaire en deux volumes réalisé en 1493 pour Jost von Silenen († 1498), évêque de Sion depuis 1482 jusqu’à sa déposition en 1497. Richement décoré, les enluminures sont l’oeuvre d’un artiste itinérant actif dans les dernières décennies du XVème siècle à Fribourg, Berne et Sion, où il est connu sous le nom de Maître du bréviaire de Jost von Silenen, et au début du XVIème siècle à Aoste et Ivrea, où il prend le nom de Maître de Georges de Challant. (ber)

En ligne depuis: 20.12.2016

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Zürich, Schweizerisches Nationalmuseum, LM 4624.2
Parchemin · I + 438 + II ff. · 21.6-22 x 15-15.3 cm · 1493
Bréviaire de Jost von Silenen, pars aestivalis

Bréviaire en deux volumes réalisé en 1493 pour Jost von Silenen († 1498), évêque de Sion depuis 1482 jusqu’à sa déposition en 1497. Richement décoré, les enluminures sont l’oeuvre d’un artiste itinérant actif dans les dernières décennies du XVème siècle à Fribourg, Berne et Sion, où il est connu sous le nom de Maître du bréviaire de Jost von Silenen, et au début du XVIème siècle à Aoste et Ivrea, où il prend le nom de Maître de Georges de Challant. (ber)

En ligne depuis: 20.12.2016

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Zürich, Schweizerisches Nationalmuseum, LM 7180
Parchemin · 1 f. · 23 x 17 cm · XIIIème siècle
Fragment de calendrier (janvier et février)

Feuillet d’un calendrier – mois de janvier et de février – provenant d’un manuscrit liturgique (psautier? bréviaire?). Le calendrier est inséré dans cadre imitant des arcatures. Pour le mois de janvier figure sur la droite saint Pierre avec les clés et, en haut, dans un médaillon, une activité typique de ce mois: un homme qui se réchauffe devant un feu. Dans le mois de février, apparaît saint Matthieu et, en haut, dans un médaillon, un homme occupé à tailler un arbre pour se procurer du bois. Les traces du pli central révèlent que le feuillet a été utilisé probablement comme couverture d’un livre. (ber)

En ligne depuis: 20.12.2016

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Zürich, Schweizerisches Nationalmuseum, LM 22737
Papier · 226 pp. · 33.5 x 24.2 cm · vers 1560
Portraits de la famille des Habsbourg et des soldats morts à la bataille de Sempach (1386)

La première partie (1-XX) de ce manuscrit en papier illustré contient les représentations des membres de la famille des Habsbourg, agenouillés dans une attitude de dévotion, accompagnés de leurs armoiries respectives. Celles-ci reprennent les images présentes dans les vitraux de l’Eglise de Königsfelden (AG), fondée en l’honneur de Albert Ier de Habsbourg (assassiné en 1308) par sa veuve Elisabeth, et aujourd’hui partiellement détruite. L'Ehrenspiegel des Hauses Österreich est un prototype de ce cycle pictural dynastique, commandé à Augsbourg, entre 1555 et 1559, à Johann Jakob Fugger, dont il existe plusieurs autres copies, à Vienne (ÖNB, Cod. 8614), Munich (BSB Cgm 895, Cod. icon. 330) et Lucerne (ZHB Ms. 124 fol.). Dans la seconde partie (XXI-203) sont représentés, en armure et avec leurs blasons respectifs, les chevaliers tombés avec Léopold III, durant la bataille de Sempach (1386). (ber)

En ligne depuis: 09.04.2014

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Zürich, Schweizerisches Nationalmuseum, LM 24097
Parchemin · 1 f. · 20.6 x 15.5 cm · XIVe siècle
Lettre de protection

Ce parchemin contient un des rares exemples conservés d’une lettre de protection. Les nombreux plis indiquent que la feuille a été pliée dans un très petit format, afin d’être facilement portée sur soi. La lettre promet une protection contre les ennemis, l’aide des amis et la réalisation des vœux. Une croix rouge et des initiales structurent le texte écrit en latin et en allemand, qui contient des phrases complètes et des lettres isolées, composant un mélange de formules chrétiennes et magiques. La lettre de protection aurait été vraisemblablement composée pour une certaine Greta, nommée dans le texte à la ligne 54. La feuille, archivée en tant qu’« amulette », fut trouvée en 1701 dans les documents de la famille noble von Wellenberg. (ber)

En ligne depuis: 09.04.2014

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Zürich, Schweizerisches Nationalmuseum, LM 25893
Parchemin et papier · 2 ff. · 26.8 x 18.3 cm · Venise · env. 1491
Commission de Cristoforo Duodo, procureur de S. Marco de ultra

Fragment d’un document officiel de la République de Venise, contenant une page enluminée et une partie de l’index de la Commission de Cristoforo Duodo, procureur de Saint-Marc de ultra de 1491 à 1496. Procureur était la plus haute charge de la Sérénissime après le doge, et au moment de leur nomination, les procureurs faisaient rédiger les chapitres, en général enluminés, contenant leur serment et la liste des commissions, c’est-à-dire des devoirs spécifiques auxquels ils ont juré d’obéir. Ce fragment s’ajoute aux 21 commissions des procureurs vénitiens datant du XVème siècle, parmi lesquels il se distingue par l’enluminure attribuée à un maître vénitien de bon niveau, formé dans l’entourage de Leonardo Bellini, et par la présence peu fréquente du saint patron non seulement du procureur, mais aussi de son épouse. (poz)

En ligne depuis: 20.12.2016

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Zürich, Schweizerisches Nationalmuseum, LM 26117
Parchemin · 314 ff. · 49 x 34.5 cm · St. Katharinenthal et Hochrhein · vers 1312
Graduel de St. Katharinental (Thurgovie)

Le graduel provient du couvent des dominicaines de Katharinental et représente l’une des plus importantes œuvres d’art d’époque gothique en Suisse. Réalisé vers 1312 dans le couvent même, il fut probablement décoré dans la région du lac de Constance. Il contient plus de 80 initiales filigranées, plus de 60 initiales enluminées historiées et 5 initiales I dont le corps se compose de plusieurs médaillons historiés. Des deux dernières initiales I, dont les médaillons ont été découpés et vendus séparément, l’on connaît quelques éléments aujourd’hui dispersés dans divers musées ou bibliothèques. En plus des initiales, sont représentées, dans les frises végétales, de nombreuses dominicaines agenouillées et orantes ou d’autres donateurs laïcs (par ex. 3v, 18v, 90r, 159v, 161r etc.). Jusqu’au XIXème siècle, il fut utilisé dans le couvent ; vers 1820, il fut cédé à un antiquaire de Constance, Franz Joseph Aloys Castell (1796-1844). Après 1860, il appartint à des collectionneurs anglais Sir William Amherst of Hackney et Sir Charles Dyson Perrins (1864-1958). A la mort de ce dernier, sa bibliothèque fut mise en vente par Sotheby et le manuscrit acquis par la Confédération suisse avec le soutien de la Fondation Gottfried Keller et du canton de Thurgovie. (ber)

En ligne depuis: 22.03.2017

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Zürich, Schweizerisches Nationalmuseum, LM 29329.1
Parchemin · 1 f. · 14 x 16.7 cm · St. Katharinenthal et Hochrhein · vers 1312
Fragment avec le Christ et Jean l’Evangéliste du graduel de St. Katharinental (Thurgovie)

Fragment provenant du f. 158a verso du graduel de St. Katharinental, extrait au XIXème siècle et dont les enluminures furent vendues séparément. Dans l’initiale A sont représentés le Christ en train de bénir et Jean l’Evangéliste qui appuie sa tête sur ses genoux ; à leurs pieds un dominicain en prière est agenouillé et, dans la frise latérale, une dominicaine. Au-dessous de l’initiale (aujourd’hui à Zurich, Musée national suisse, LM 29329.2), il y avait un cadre dans lequel est peinte la Vierge de l’Apocalypse accompagnée de Jean l’Evangéliste, tandis que, sous deux arcades, deux dominicaines agenouillées prient. A l’origine figurait aussi sur le même folio une initiale V (aujourd’hui, à Vienne, Graphische Sammlung Albertina, Inv. Nr. 32434) avec une représentation très élaborée de la Maiestas Domini et du Jugement dernier. Le fragment appartient à la Confédération suisse, à la Fondation Gottfried Keller et au canton de Thurgovie. (ber)

En ligne depuis: 22.03.2017

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Zürich, Schweizerisches Nationalmuseum, LM 29329.2
Parchemin · 1 f. · 11 x 8.5 cm · St. Katharinenthal et Hochrhein · vers 1312
Fragment avec la Vierge de l’Apocalypse et Jean l’Evangéliste du graduel de St. Katharinental (Thurgovie)

Fragment provenant du f. 158a verso du graduel de St. Katharinental, qui a été extrait au XIXème siècle et dont les enluminures furent vendues séparément. Il représente la Vierge de l’Apocalypse accompagnée de Jean l’Evangéliste, tandis que sous deux arcades, deux dominicaines agenouillées prient. Le cadre était placé sous une initiale A (aujourd’hui à Zurich, Musée national suisse, LM 29329.1) dans laquelle figuraient le Christ en train de bénir et Jean l’Evangéliste qui appuie sa tête sur ses genoux ; à leurs pieds un dominicain en prière est agenouillé et, dans la frise latérale, une dominicaine. A l’origine figurait aussi sur le même folio une initiale V (aujourd’hui, à Vienne, Graphische Sammlung Albertina, Inv. Nr. 32434) avec une représentation très élaborée de la Maiestas Domini et du Jugement dernier. Le fragment appartient à la Confédération suisse, à la Fondation Gottfried Keller et au canton de Thurgovie.  (ber)

En ligne depuis: 22.03.2017

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